Mon père, Bill Stallybrass, a entendu parler pour la première fois de cette idée, de ce mouvement, en 1936. Il voyageait en train de Londres à Paris, pour descendre à vélo la vallée du Rhône depuis sa source en Suisse jusqu'à la Méditerranée, et il partageait un compartiment avec Philippe Mottu et deux autres jeunes Suisses rentrant chez eux après une réunion du Groupe d'Oxford à Birmingham. L'amitié a duré jusqu'à la fin de leur vie.
Il a également aidé à organiser les voyages pour ce premier été à Caux pendant son congé de démobilisation de l'armée britannique, et j'ai trouvé son nom parmi les participants à ce premier été en 1946.