POURQUOI MON PÈRE A ÉCRIT LA PIÈCE, par Anne Wolrige Gordon, qui a terminé la pièce à partir des notes de son père après sa mort :
"La grande question du monde moderne est celle de l'homme tout-puissant ou du Dieu tout-puissant. À une époque où toutes les forces négatives s'attaquent au Rocher des Âges, nous devons percevoir le danger et le défi, et sans crainte, au milieu des malentendus, des fausses représentations et de l'opposition, même au sein du camp compromis du christianisme, construire à nouveau un Dieu tout-puissant comme un facteur moderne et révolutionnaire dans la vie de millions de nos semblables".
C'est ce qu'écrivait Peter Howard quelques mois avant sa mort en 1965. C'est sur ce grand conflit entre l'homme et Dieu que repose le thème de sa dernière pièce, Happy Deathday. Chacune des pièces de Howard est différente. Ce n'est pas le fruit d'une imagination débordante ou d'un éclair de génie, mais parce que, chaque jour de sa vie, Howard a vu et répondu aux besoins de personnes spécifiques. Ses pièces ont été écrites en pensant à des personnes précises. Souvent, ces personnes représentaient des besoins communs à tous. Happy Deathday a été écrite principalement pour une jeune fille de dix-huit ans.
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